Paris Dakar.

Publié le par Francis citoyen ordinaire

Déjà un mort au crédit des amateurs de vroum vroum et la course continue. Ne parlons pas de l'environnement . Interrogés par les journalistes sur leurs motivations, les drogués du levier de vitesse se disent fascinés par la beauté des paysages traversés. Pas un mot sur l'impact de la course sur l'environnement. Pas de question des journalistes à ce sujet non plus d'ailleurs.

Ne devrait-on pas interdire toutes les formes de courses de véhicules à moteur essence ou gasoil? Comment justifier aujourd'hui la poursuite de ces sports? J'attends les arguments de ceux qui ne sont pas choqués par ces compétitions.

Publié dans humeur

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F
Fournier
05/01/2010 10:25
<br /> La course automobile est une véritable contradiction au sein de notre monde dont les Etats veulent limiter à 2° la hausse des températures. Elle fait travailler 300 000 personnes en emplois directs<br /> et 2 millions en emplois indirects (commerciaux, services, transports et...journalistes sportifs qui ne sont pas des journalistes d'opinion). C'est très compliqué à l'image de notre société...<br /> <br /> <br />
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F
Francis citoyen ordinaire
05/01/2010 23:45
<br /> D'abord merci pour ce commentaire.<br /> Certes il y a des emplois à la clé, mais il faut un moment donné prendre des décisions même si elles ne sont pas populaires.(La peine de mort aurait-elle été abolie si Badinter et Mitterrand <br /> avait écouté les sondages). Des emplois liés à la protection de l'environnement vont être de plus en plus nombreux. Et puis est-ce qu'on a encore vraiment le choix vis à vis des jeunes<br /> d'aujourd'hui et de leurs futurs enfants? Au sujet des journalistes sportifs, est-ce que l'adjectif"sportif" les empêche de poser des questions qui fâchent? Dans le cas de mon article sur<br /> l'impact sur l'environnement, dans d'autres cas sur le dopage, l'argent, l'intolérance ... Moi, j'en reste au mot "journaliste" et je ne crois pas que leur déontologie les oblige à servir la soupe<br /> comme c'est trop souvent le cas. Il ne faut pas qu'ils se druckérisent car ils sont un élément fondamental de notre démocratie au travers de la liberté de la presse.<br /> <br /> <br />